Nous souhaitons faire la différence dans le traitement du cancer du poumon
Le cancer du poumon est la première cause de décès par cancer chez les hommes et les femmes et représente environ un cinquième des décès dus au cancer dans le monde, dont 80 à 85 % sont des cancers non à petites cellules (NSCLC : Non Small Cell Lung Cancer). Lorsque la maladie est métastasée, le pronostic est particulièrement défavorable puisque la survie à 5 ans n’est que de 6 à 10 % une fois le diagnostic posé. Les autres cancers du poumon communs sont, par exemple, les mésothéliomes, les tumeurs de la paroi thoracique ou les cancers à petites cellules, ces derniers étant dans la plupart des cas causés par le tabagisme.
De nombreux biomarqueurs des cancers du poumon ont été identifiés, dont KRAS, ALK (Anaplastic Lymphoma Kinase), ROS1 ou la mutation BRAF V600E. Environ 25 à 30 % des cancers du poumon dans le monde présentent une mutation qui active l’EGFR et on estime que près de 83 % de toutes les tumeurs non à petites cellules expriment la protéine HER3, laquelle peut être associée à une augmentation de l’incidence des métastases, à une diminution de la survie et à une résistance aux traitements conventionnels.
Nous continuons à développer des traitements contre les cancers du poumon pour permettre aux patients de partager le plus longtemps possible des moments forts avec leurs familles et amis. Ainsi, nous soutenons l’innovation et œuvrons pour accroître la sensibilisation au sujet des cancers du poumon.
Références
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